Le héros de ce roman est Charles un petit orphelin de douze ans élevés par une cousine Madame Mac’Miche une vieille veuve avarice, chiche, âgée d’une cinquantaine d’années. Notre protagoniste lui fera mille et une farce, parfois seul ou avec l’aide de Becky l’unique servante de cette cruelle femme elle reste chez elle non pas pour le salaire qui n’avait pas d’existence mais pour le petit Charles à qui elle était peiné, et supportait avec peine le traitement de Mac’Miche au pauvre Charles et lui venait en aide à chaque fois qu’elle le pouvait. Charles essayait sans cesse d’effarouché sa tante avec les fées et les diables vu qu’elle les craignait trop. Ai-je oublié de mentionner que Charles avait deux cousines Juliette qui avait quinze ans une jeune fille d’une douceur, une bonté parfaite aux yeux de tout le monde cependant la petite avait perdu la vue mais malgré cela elle était un ange pour Charles elle n’épargnée jamais de le soutenir, lui montré le bon chemin et le rendre un bon jeune homme elle avait une sœur appelé Marianne elle était plus âgé elle prenait soin de sa sœur et approuvait une tendresse pour Charles.

Ce récit comme madame la comtesse de Ségur a dit est une lettre et une histoire pour son petit-fils qui est dans la peau de Charles et de sa petite fille qui est dans la peau de Juliette sauf que cette dernière ne souffre pas d’une perte de vue.

Au cours de ces chapitre, on va vivre avec Charles des aventures avec des personnages différents comme madame Mac’Miche, Becky, le juge de paix, ses cousines Daikins, et M. Old Nick…

Ecrivain : Comtesse de Ségur ou Sophie Rostopchine né le 1 aout 1799 en Russie et décédée le 9 février 1874 à Paris était une autrice d’histoire pour enfants.

Langue d’origine : Français

Date de parution : 1865